Oui, on le dit, et, un jour d'été en Bretagne, au large de Fouesnant, j'ai effectivement observé des maquereaux, que j'avais moi-même péchés en début d'après-midi, qui s'étaient partiellement décomposés, en fin d'après midi, après un orage, alors qu'ils avaient été laissés dans le cockpit. C'était spectaculaire, car la chair était devenue toute molle, presque liquide.
En revanche, le phénomène n'a pas eu lieu pour des maquereaux péchés un autre jour, sans orage. Faisait-il moins chaud ? Moins humide ?
On pourrait essayer de reproduire les conditions et de voir le développement de micro-organismes.
Qui fera les expériences ?
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