lundi 13 décembre 2010

Reçu ce matin !

Au mois de novembre, nous avions observé, lors de notre réunion du Groupe d'étude des précisions culinaires, que les soufflés dont les blancs n'avaient pas été battus montaient presque aussi bien que les soufflés préparés classiquement, et voici un message arrivé ce matin :

Bonjour,
Je sais que j'écris un peu tard. Je voulais vous signaler qu'après la première réunion sur les soufflés, j'ai essayé, comme annoncé précédemment, le soufflé familial réalisé depuis 20ans. Ma maman a fait la recette, comme elle a l'habitude de faire, même moule, même four, etc. J'ai réussi a ne pas lui faire battre les blancs, même si elle était très dubitative. Le résultat obtenu est, après vote de la famille, exactement le même : volume, couleur, texture, goût (ce dont moi-même je doutais).
Je pense qu'à l'avenir ma maman va cesser de battre les blancs.
A bientôt











Vient de paraître aux Editions de la Nuée Bleue : Le terroir à toutes les sauces (un traité de la jovialité sous forme de roman, agrémenté de recettes de cuisine et de réflexions sur ce bonheur que nous construit la cuisine)

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